LA VIE SOCIALE DE L EPOQUE DU PROPHETE
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LA VIE SOCIALE DE L EPOQUE DU PROPHETE
LE MARIAGE
On demandait la main d’une femme à ses parents qui consultaient leur fille avant d’accorder leur consentement aux fiançailles.
Un
beau conseil du Prophète (psl) : « On épouse une femme pour sa beauté,
pour sa généalogie ou pour sa richesse ; mais cherchez plutôt sa
religiosité ». (Abû Dâwûd 12/2)
Lors des noces, il y avait des chanteuses et des joueurs de tambour ou de cymbales (Bukhâri 67/48).
On fardait l’épouse, on la coiffait avec soin et on la parfumait.
Beaucoup de monde assistait à la cérémonie. On se rendait à la maison de l’épouse et on faisait le contrat de mariage :
Un dignitaire du quartier, ou parfois le Prophète (psl) prononçait un
cours sermon où il faisait des louanges à Dieu, parlais des devoirs et
des droits entre époux, priait pour l’entente à jamais durable entre
eux, ainsi que pour les futures naissances.
Alors on félicitait les deux époux.
L’épouse
n’assistait pas personnellement à la cérémonie, mais deux témoins
(proches parents) étaient consultés au sujet du consentement de la
mariée, de la personne du marié, des conditions du mariage, du montant
de la dot ( mahr) que le mari doit payer à la femme. Lorsque le
consentement des deux époux était enregistré, on célébrait le mariage
et déclarait le contrat conclu.
Alors on jetait des dattes sèches et autres friandises sur l’époux. On fêtait les invités avec un repas.
L’épouse emmenée chez lui, le mari invitait le lendemain du mariage ses
amis et les pauvres du quartier à un repas qu’on appelait walîmah. Le
Prophète (psl) a hautement recommandé cette coutume.
Lorsque
l’époux emmenait la mariée chez lui, avant qu’on ne laissât les époux,
un membre plus âgé de la famille aspergeait de quelques gouttes d’eau
pure les deux époux et priait pour que Dieu les protégeât de tout mal.
On demandait la main d’une femme à ses parents qui consultaient leur fille avant d’accorder leur consentement aux fiançailles.
Un
beau conseil du Prophète (psl) : « On épouse une femme pour sa beauté,
pour sa généalogie ou pour sa richesse ; mais cherchez plutôt sa
religiosité ». (Abû Dâwûd 12/2)
Lors des noces, il y avait des chanteuses et des joueurs de tambour ou de cymbales (Bukhâri 67/48).
On fardait l’épouse, on la coiffait avec soin et on la parfumait.
Beaucoup de monde assistait à la cérémonie. On se rendait à la maison de l’épouse et on faisait le contrat de mariage :
Un dignitaire du quartier, ou parfois le Prophète (psl) prononçait un
cours sermon où il faisait des louanges à Dieu, parlais des devoirs et
des droits entre époux, priait pour l’entente à jamais durable entre
eux, ainsi que pour les futures naissances.
Alors on félicitait les deux époux.
L’épouse
n’assistait pas personnellement à la cérémonie, mais deux témoins
(proches parents) étaient consultés au sujet du consentement de la
mariée, de la personne du marié, des conditions du mariage, du montant
de la dot ( mahr) que le mari doit payer à la femme. Lorsque le
consentement des deux époux était enregistré, on célébrait le mariage
et déclarait le contrat conclu.
Alors on jetait des dattes sèches et autres friandises sur l’époux. On fêtait les invités avec un repas.
L’épouse emmenée chez lui, le mari invitait le lendemain du mariage ses
amis et les pauvres du quartier à un repas qu’on appelait walîmah. Le
Prophète (psl) a hautement recommandé cette coutume.
Lorsque
l’époux emmenait la mariée chez lui, avant qu’on ne laissât les époux,
un membre plus âgé de la famille aspergeait de quelques gouttes d’eau
pure les deux époux et priait pour que Dieu les protégeât de tout mal.
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