Les oublis pendant la priere..
:: LES PILIERS :: la prière
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Les oublis pendant la priere..
Salam alaykoum!
CELUI QUI...
Celui qui commet une erreur par omission et par addition devra faire une prosternation avant le salut final.
Celui qui
oublie la prosternation qui précède le salut final, la fera s'il se le
rappelle peu après. S'il ne se la rappelle que longtemps après, ou
après la sortie de la mosquée, la prosternation n'est plus valable de
même la prière, si l'oubli porte sur trois sounnah ou davantage ; sinon
sa prière est valable.
Celui qui oublie de faire la prosternation après le salut final devra la faire même un an après.
Celui qui omet une obligation d'institution divine, la prosternation réparatrice n'est pas valable.
Celui qui oublie des actes méritoires (Fadaël) n'a pas à faire de prosternations.
Celui qui a baissé la voix dans la récitation de la prière au lieu de l'élever, doit se prosterner avant le salut final.
Celui qui élève la voix dans la prière à voix basse, doit se prosterner après le salut final.
Celui qui par oubli, aura parlé (durant la prière) fera une prosternation après le salut final.
Celui qui fait le salut final après deux inclinaisons (rakâas) doit se prosterner après le salut final.
Celui qui élève la voix au cours du (counout) n'a pas à se prosterner, mais s'il l'a intentionnellement il encourt le blâme.
Celui qui aura ajouté une Sourate pendant les deux dernières rakâas n'a pas à se prosterner après.
Celui qui
entend prononcer le nom de Mohamad (salla Allah ‘alayhi wa salam) et
prononce lui-même cette formule, n'est tenu à rien, qu'il l'ait fait
instinctivement au intentionnellement, en position debout ou assise.
Celui qui
récite deux Sourates ou davantage au cours d'une seule rakaa, ou qui,
sans terminer la récitation d'une Sourate, passe à une autre, ou fait
une rakaa avant d'avoir terminé une Sourate, ne doit rien pour cela.
Celui qui fait un signe de tête ou de main, au cours de la prière, il ne doit rien pour cela.
Celui qui,
par erreur, a répété la Fatiha, doit une prosternation après le salut
final, mais, s'il l'a fait intentionnellement, sa prière, semble-t-il,
n'est pas valable.
Celui qui se souvient avoir oublié une Sourate après s'être incliné pour le Roukoûe n'est pas tenu à une nouvelle récitation.
Celui qui
se souvient avoir remplacée la récitation à voix basse par la lecture à
voix haute, ou inversement, avant le Roukoûe, doit réciter à nouveau
(comme ce doit l’être). Si l'omission porte sur une seule Sourate il
doit la réciter et n'a pas à se prosterner. Si l'oubli a porté sur la
récitation de la Fatiha, il doit la faire et se prosterner après le
salut final. Néanmoins s'il a oublié de réciter à haute voix au moment
de l'inclination (Roukoûe) il se prosternera avant le salut final ; si
l'oubli a porté sur la récitation à voix basse il doit une
prosternation après la salut final, qu'il l'ait oublié la Fatiha ou une
autre Sourate.
Celui qui rie au cours de la prière
l'annule, que ce soit par oubli ou de propos délibéré, car ne rie (au
cours de la prière) que l'homme négligent, ou le plaisantin. Le croyant
qui se lève pour prier doit détourner son cœur de toute chose hormis
Dieu bannir de sa pensée le monde, et ce qu'il contient afin d'avoir
présentes en son âme : la Majesté Divine et sa Grandeur ; son cœur doit
tressaillir et son âme s'imprégner de la crainte de Dieu, Très-haut.
Cette prière est celle des pieux croyants. Le simple sourire est sans
importance. Les pleurs du fidèle fervent sont pardonnables.
Celui qui écoute un peu les propos d'un causeur ne doit rien.
Celui qui
après les deux Rakâas et avant de s'asseoir se dispose à se lever, et
se rappelle alors qu'il doit rester assis, .le fera et ne se
prosternera pas, à condition que ses mains et ses genoux n'aient pas
quitté le sol. Au cas contraire, il doit continuer sa prière et se
prosterner avant le salut final s'il se rassie après s'être relevé, par
oubli ou intentionnellement, sa prière est valable moyennant une
prosternation après le salut final.
Celui qui renifle,
par oubli, pendant la prière, demande une prosternation après le salut
final ; mais si l'acte est intentionnel la prière n'est pas valable.
Celui qui
éternue pendant la prière, n'a pas à se préoccuper de prononcer
AlhamdouLillahi ni à répondre au souhait qu'on lui fait. De même il n'a
pas à prononcer de formule si son voisin éternue. Prononcer louange à
Dieu (Al-HamdouLillahi) est permis au cours de la prière.
Celui qui bâille, il doit porter la main sur sa bouche, et terminer le bâillement sans prononcer des lettres.
Celui qui pense se trouver en état de souillure mineure ou d'impureté légale, mais se convainc de sa pureté, ne doit rien.
Celui qui
se tourner par inadvertance, au cours de la prière, ne demande pas
réparation ; mais si c'est fait intentionnellement c'est blâmable. Si
le mouvement conduit le fidèle à tourner le dos à la Kibla la prière
est rompue, elle doit être recommencée.
Celui qui vient
à la prière, habillé de soie, ou porteur de bijoux d'or (sauf les
femmes), ou qui, pendant que l'on prie commet un larcin, ou regarde une
chose défendue, est un rebelle à la loi divine, mais sa prière est
valable.
Celui qui, au cours de la récitation de la
prière se trompe d'un mot, doit se prosterner après le salut final. Si
le mot employé est du Coran, il ne doit pas de prosternation, sauf s'il
modifie la phrase ou son sens.
Celui qui dans un état
de somnolence pendant la prière ne demande pas de réparation, mais le
sommeil profond oblige à recommencer la prière et les ablutions aussi.
Les gémissements d'un fidèle malade sont pardonnables ; de même la
toux, mais tousser pour attirer l'attention est désapprouvé, bien que
la prière reste valable. Le fidèle appelé qui répond: «Soubhanallah »
est à blâmer, mais sa prière est valable.
Celui qui, pendant la prière, a des pensées étrangères voit diminuer sa récompense en faveurs divines mais sa prière est valable.
Celui qui
repousse de la main, en priant, une personne qui passe, touche le sol
par un côté du front, ou bien par un ou deux pas de son turban ne
demande pas de réparation, de même pour le vomissement involontaire ou
les régurgitations liquides.
Celui qui prie sous la
direction d'un Imam, à responsabilité de ses oublis incombe à ce
dernier, à moins qu’il ne s'agisse de l'omission d’une obligation
d'ordre divin.
Celui qui, pendant la prière, voit un
scorpion ou un serpent se diriger vers lui et le tue, ne doit rien,
sauf s'il a mis longtemps pour le faire, ou s'il s'est détourné de la
KIBLA, il doit alors arrêter sa prière et la recommencer.
Celui qui
ne sait plus s'il en est au Ouître ou à la deuxième inclination du
Chaf' se considérera comme étant à cette dernière, se prosternera après
le salut final et fera ensuite le Ouître. Parler par inadvertance entre
le Chaf' et le Ouître ne demande pas réparation, la faire
intentionnellement est blâmable, mais n'en demande pas non plus.
Celui qui
oublie l'inclination et s'en souvient pendant la prosternation, se rend
debout, lit quelques versets, recommence l'inclination (Roukoûe) et
continue sa prière, et se prosternera après le salut final.
Celui qui
oublie une seule prosternation, et s'en souvient après avoir été début,
se rend assis immédiatement, pour refaire cette prosternation ; mais
s'il s'en souvient en étant assis, il la fera tout de suite. Si le
fidèle se souvient de la prosternation après avoir levé sa tête de
l'inclination précédente, il continue alors sa prière sans revenir à la
prosternation passée, et supprime la prosternation de l'oubli, en
augmentant une autre inclination qui lui remplace, et se prosternera
avant le salut final; et de même si cette inclination est l'une des
deux premières inclinations, et le fidèle s'en souvient après avoir
commencé la troisième, ou après le salut final, ou si cette
'inclination n'est pas l'une des deux premières et s'en souvient avant
avoir commencé la troisième (puisqu'il a déjà fait la récitation,
l'inclination et la prosternation).
Celui qui le salut
final ayant des doutes de sa prière, sa prière n'est pas valable.
L'oubli dans la prière de réparation (prière à refaire) est exactement
comme dans la prière obligatoire ; et l'oubli dans la prière
surérogatoire est comme dans la prière obligatoire, sauf dans six cas :
La Fatiha, la Sourate, la récitation à voix basse, la récitation à
haute voix, l'augmentation d'une Rakâa, et l'oubli de quelques
obligations divines.
Celui qui oublie la Fatiha dans la
prière surérogatoire, et s'en souvient après l'inclination, continue sa
prière et se prosterne avant le salut final, contrairement à ce qui se
fait dans la prière d'obligation divine, où on ne se rend pas compte de
cette Rakâa et on augmente une autre en se prosternant comme dans le
cas de celui qui oublie la prosternation.
Celui qui oublie
la Sourate ou la lecture à haute voix ou à basse voix dans la prière
surérogatoire, et s'en souvient après l'inclination, continue sa prière
et ne doit pas de prosternation, contrairement à ce qui se fait dans la
prière d'obligation divine.
Celui qui se lèvre pour une
troisième inclination dans la prière surérogatoire, et se rappelle être
en faute avant de s'incliner, doit revenir à la prosternation après le
salut final. S'il se rappelle avoir fait une addition après la
troisième inclinaison, il doit continuer sa prière et faire une
quatrième Rakâa et se prosterner après le salut final, contrairement à
ce qui se fait dans la prière d'obligation divine, car dans celle-ci il
doit revenir à sa prière et se prosterner après le salut final.
Celui qui
oublie un élément constitutif dans la prière surérogatoire, comme
l'inclination ou la prosternation, et ne s'en souvient qu'après le
salut final et longtemps après, n'a pas à refaire sa prière ;
contrairement à la prière d'obligation divine qu'il devra
obligatoirement accomplir et réparer.
Celui qui
interrompt la prière surérogatoire, ou en oublie une inclination ou une
prosternation intentionnellement doit toujours la refaire.
Celui qui soupire, au cours de sa prière, ne doit rien, sauf s'il prononce distinctement une lettre de l'alphabet.
Source :
Moukhtaçar Al-cheikh Sidi Abderrahman Al-Akhdari
Wa Salam alaykoum
CELUI QUI...
Celui qui commet une erreur par omission et par addition devra faire une prosternation avant le salut final.
Celui qui
oublie la prosternation qui précède le salut final, la fera s'il se le
rappelle peu après. S'il ne se la rappelle que longtemps après, ou
après la sortie de la mosquée, la prosternation n'est plus valable de
même la prière, si l'oubli porte sur trois sounnah ou davantage ; sinon
sa prière est valable.
Celui qui oublie de faire la prosternation après le salut final devra la faire même un an après.
Celui qui omet une obligation d'institution divine, la prosternation réparatrice n'est pas valable.
Celui qui oublie des actes méritoires (Fadaël) n'a pas à faire de prosternations.
Celui qui a baissé la voix dans la récitation de la prière au lieu de l'élever, doit se prosterner avant le salut final.
Celui qui élève la voix dans la prière à voix basse, doit se prosterner après le salut final.
Celui qui par oubli, aura parlé (durant la prière) fera une prosternation après le salut final.
Celui qui fait le salut final après deux inclinaisons (rakâas) doit se prosterner après le salut final.
Celui qui élève la voix au cours du (counout) n'a pas à se prosterner, mais s'il l'a intentionnellement il encourt le blâme.
Celui qui aura ajouté une Sourate pendant les deux dernières rakâas n'a pas à se prosterner après.
Celui qui
entend prononcer le nom de Mohamad (salla Allah ‘alayhi wa salam) et
prononce lui-même cette formule, n'est tenu à rien, qu'il l'ait fait
instinctivement au intentionnellement, en position debout ou assise.
Celui qui
récite deux Sourates ou davantage au cours d'une seule rakaa, ou qui,
sans terminer la récitation d'une Sourate, passe à une autre, ou fait
une rakaa avant d'avoir terminé une Sourate, ne doit rien pour cela.
Celui qui fait un signe de tête ou de main, au cours de la prière, il ne doit rien pour cela.
Celui qui,
par erreur, a répété la Fatiha, doit une prosternation après le salut
final, mais, s'il l'a fait intentionnellement, sa prière, semble-t-il,
n'est pas valable.
Celui qui se souvient avoir oublié une Sourate après s'être incliné pour le Roukoûe n'est pas tenu à une nouvelle récitation.
Celui qui
se souvient avoir remplacée la récitation à voix basse par la lecture à
voix haute, ou inversement, avant le Roukoûe, doit réciter à nouveau
(comme ce doit l’être). Si l'omission porte sur une seule Sourate il
doit la réciter et n'a pas à se prosterner. Si l'oubli a porté sur la
récitation de la Fatiha, il doit la faire et se prosterner après le
salut final. Néanmoins s'il a oublié de réciter à haute voix au moment
de l'inclination (Roukoûe) il se prosternera avant le salut final ; si
l'oubli a porté sur la récitation à voix basse il doit une
prosternation après la salut final, qu'il l'ait oublié la Fatiha ou une
autre Sourate.
Celui qui rie au cours de la prière
l'annule, que ce soit par oubli ou de propos délibéré, car ne rie (au
cours de la prière) que l'homme négligent, ou le plaisantin. Le croyant
qui se lève pour prier doit détourner son cœur de toute chose hormis
Dieu bannir de sa pensée le monde, et ce qu'il contient afin d'avoir
présentes en son âme : la Majesté Divine et sa Grandeur ; son cœur doit
tressaillir et son âme s'imprégner de la crainte de Dieu, Très-haut.
Cette prière est celle des pieux croyants. Le simple sourire est sans
importance. Les pleurs du fidèle fervent sont pardonnables.
Celui qui écoute un peu les propos d'un causeur ne doit rien.
Celui qui
après les deux Rakâas et avant de s'asseoir se dispose à se lever, et
se rappelle alors qu'il doit rester assis, .le fera et ne se
prosternera pas, à condition que ses mains et ses genoux n'aient pas
quitté le sol. Au cas contraire, il doit continuer sa prière et se
prosterner avant le salut final s'il se rassie après s'être relevé, par
oubli ou intentionnellement, sa prière est valable moyennant une
prosternation après le salut final.
Celui qui renifle,
par oubli, pendant la prière, demande une prosternation après le salut
final ; mais si l'acte est intentionnel la prière n'est pas valable.
Celui qui
éternue pendant la prière, n'a pas à se préoccuper de prononcer
AlhamdouLillahi ni à répondre au souhait qu'on lui fait. De même il n'a
pas à prononcer de formule si son voisin éternue. Prononcer louange à
Dieu (Al-HamdouLillahi) est permis au cours de la prière.
Celui qui bâille, il doit porter la main sur sa bouche, et terminer le bâillement sans prononcer des lettres.
Celui qui pense se trouver en état de souillure mineure ou d'impureté légale, mais se convainc de sa pureté, ne doit rien.
Celui qui
se tourner par inadvertance, au cours de la prière, ne demande pas
réparation ; mais si c'est fait intentionnellement c'est blâmable. Si
le mouvement conduit le fidèle à tourner le dos à la Kibla la prière
est rompue, elle doit être recommencée.
Celui qui vient
à la prière, habillé de soie, ou porteur de bijoux d'or (sauf les
femmes), ou qui, pendant que l'on prie commet un larcin, ou regarde une
chose défendue, est un rebelle à la loi divine, mais sa prière est
valable.
Celui qui, au cours de la récitation de la
prière se trompe d'un mot, doit se prosterner après le salut final. Si
le mot employé est du Coran, il ne doit pas de prosternation, sauf s'il
modifie la phrase ou son sens.
Celui qui dans un état
de somnolence pendant la prière ne demande pas de réparation, mais le
sommeil profond oblige à recommencer la prière et les ablutions aussi.
Les gémissements d'un fidèle malade sont pardonnables ; de même la
toux, mais tousser pour attirer l'attention est désapprouvé, bien que
la prière reste valable. Le fidèle appelé qui répond: «Soubhanallah »
est à blâmer, mais sa prière est valable.
Celui qui, pendant la prière, a des pensées étrangères voit diminuer sa récompense en faveurs divines mais sa prière est valable.
Celui qui
repousse de la main, en priant, une personne qui passe, touche le sol
par un côté du front, ou bien par un ou deux pas de son turban ne
demande pas de réparation, de même pour le vomissement involontaire ou
les régurgitations liquides.
Celui qui prie sous la
direction d'un Imam, à responsabilité de ses oublis incombe à ce
dernier, à moins qu’il ne s'agisse de l'omission d’une obligation
d'ordre divin.
Celui qui, pendant la prière, voit un
scorpion ou un serpent se diriger vers lui et le tue, ne doit rien,
sauf s'il a mis longtemps pour le faire, ou s'il s'est détourné de la
KIBLA, il doit alors arrêter sa prière et la recommencer.
Celui qui
ne sait plus s'il en est au Ouître ou à la deuxième inclination du
Chaf' se considérera comme étant à cette dernière, se prosternera après
le salut final et fera ensuite le Ouître. Parler par inadvertance entre
le Chaf' et le Ouître ne demande pas réparation, la faire
intentionnellement est blâmable, mais n'en demande pas non plus.
Celui qui
oublie l'inclination et s'en souvient pendant la prosternation, se rend
debout, lit quelques versets, recommence l'inclination (Roukoûe) et
continue sa prière, et se prosternera après le salut final.
Celui qui
oublie une seule prosternation, et s'en souvient après avoir été début,
se rend assis immédiatement, pour refaire cette prosternation ; mais
s'il s'en souvient en étant assis, il la fera tout de suite. Si le
fidèle se souvient de la prosternation après avoir levé sa tête de
l'inclination précédente, il continue alors sa prière sans revenir à la
prosternation passée, et supprime la prosternation de l'oubli, en
augmentant une autre inclination qui lui remplace, et se prosternera
avant le salut final; et de même si cette inclination est l'une des
deux premières inclinations, et le fidèle s'en souvient après avoir
commencé la troisième, ou après le salut final, ou si cette
'inclination n'est pas l'une des deux premières et s'en souvient avant
avoir commencé la troisième (puisqu'il a déjà fait la récitation,
l'inclination et la prosternation).
Celui qui le salut
final ayant des doutes de sa prière, sa prière n'est pas valable.
L'oubli dans la prière de réparation (prière à refaire) est exactement
comme dans la prière obligatoire ; et l'oubli dans la prière
surérogatoire est comme dans la prière obligatoire, sauf dans six cas :
La Fatiha, la Sourate, la récitation à voix basse, la récitation à
haute voix, l'augmentation d'une Rakâa, et l'oubli de quelques
obligations divines.
Celui qui oublie la Fatiha dans la
prière surérogatoire, et s'en souvient après l'inclination, continue sa
prière et se prosterne avant le salut final, contrairement à ce qui se
fait dans la prière d'obligation divine, où on ne se rend pas compte de
cette Rakâa et on augmente une autre en se prosternant comme dans le
cas de celui qui oublie la prosternation.
Celui qui oublie
la Sourate ou la lecture à haute voix ou à basse voix dans la prière
surérogatoire, et s'en souvient après l'inclination, continue sa prière
et ne doit pas de prosternation, contrairement à ce qui se fait dans la
prière d'obligation divine.
Celui qui se lèvre pour une
troisième inclination dans la prière surérogatoire, et se rappelle être
en faute avant de s'incliner, doit revenir à la prosternation après le
salut final. S'il se rappelle avoir fait une addition après la
troisième inclinaison, il doit continuer sa prière et faire une
quatrième Rakâa et se prosterner après le salut final, contrairement à
ce qui se fait dans la prière d'obligation divine, car dans celle-ci il
doit revenir à sa prière et se prosterner après le salut final.
Celui qui
oublie un élément constitutif dans la prière surérogatoire, comme
l'inclination ou la prosternation, et ne s'en souvient qu'après le
salut final et longtemps après, n'a pas à refaire sa prière ;
contrairement à la prière d'obligation divine qu'il devra
obligatoirement accomplir et réparer.
Celui qui
interrompt la prière surérogatoire, ou en oublie une inclination ou une
prosternation intentionnellement doit toujours la refaire.
Celui qui soupire, au cours de sa prière, ne doit rien, sauf s'il prononce distinctement une lettre de l'alphabet.
Source :
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