RAPPORTS AVEC LES QURAICHITES DE LA MECQUE
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RAPPORTS AVEC LES QURAICHITES DE LA MECQUE
Les
mecquois avaient pris des mesures économiques contre Médine. Après de
longs mois d’hésitation, le Prophète (psl) décida de se défendre.
Il
(psl) envoya le premier détachement musulman, pour dire aux Quraichites
que leurs caravanes ne devaient pas traverser la zone islamique. Une
trentaine de volontaires musulmans, conduit par Hamza, oncle du
Prophète (psl) rencontrèrent à l’ouest de Médine, Abû Jahl avec 300
caravaniers qui avaient campés sur le territoire de la tribu Duhainah.
Grâce à l’intervention du chef juhainite, les deux parties rentrèrent
chez elles pacifiquement. Il y eut d’autres cas similaires.
LA BATAILLE DE BADR
Bien
que l’armée Mecquoise soit trois fois plus nombreuse que ses propres
compagnons le Prophète (psl) décida de rencontrer ses ennemis.
Le
porte drapeau du Prophète (psl) était le ‘Abdarite Mus’ab ibn ‘Umair
(Ibn Hicham p432), sa famille ayant la charge héréditaire, à la Mecque,
de porter le drapeau. Le Prophète (psl) lui dit : « Nous devons plus
encore que ne le font les païens de la Mecque, reconnaître les droits
de cette famille ».
A
partir de cette guerre, il est plusieurs fois questions dans le Coran
(3/124-6 ; 8/9 ; 9/26 ; 33/9) de la participation des anges, à côté des
Musulmans dans les combats.
En ce qui concerne Badr :
«
Lorsque tu disais aux croyants : N’est-il pas suffisant que votre
seigneur vous fasse descendre en aide trois milliers d’anges ? Mais oui
! Si vous êtes endurant et vous comportez en piété, et qu’ils vous
assaillent par leur sortie, votre Seigneur vous enverra en renfort cinq
mille anges marqueurs. Et Dieu ne le fit qu’à titre d’heureuse nouvelle
pour vous : afin que vos cœurs s’en rassurent, car il n’y a de secours
que de Dieu puissant, sage. »
Ce
fut une victoire pour l’armée de Muhammad (psl). Le Prophète (psl)
consulta ses compagnons au sujet des prisonniers de guerre. Il fut
décidé de les libérer contre rançon. Ceux des prisonniers qui étaient
lettrés, eurent seulement à s’instruire chacun dix garçons musulman
dans l’art de lire et d’écrire. Il y eu aussi des libérations gratuites
quand le prisonnier ne pouvait payer sa rançon.
Le Prophète (psl) ordonna que les ennemis tués ne subissent aucune mutilation corporelle.
Les morts musulmans ainsi que ceux de l’ennemi furent enterrés, les deux catégories séparément.
Le
prophète (psl) répartit les prisonniers entre les soldats musulmans
afin que chacun assure la garde d’une personne. On donna des vêtements
à ceux qui en manquaient. Les prisonniers partagèrent les repas des
soldats.
D’après
un commandement du Coran ( 76/8-9) , les prisonniers doivent être
nourris et entretenus gratuitement, par le gouvernement musulman.
Le
comportement humanitaire du Prophète (psl) lors de cette première
guerre ne changea pas par la suite et devint une loi Islamique de la
guerre, relatif au traitement de l’ennemi fait prisonnier, tué, les
femmes, les enfants, les vieillards, les malades, les serviteurs et
autres non combattants, le butin etc.
Les
plus éminents des Mecquois étant morts à Badr, Abû Sufyân, échappé avec
la grande caravane, devint alors le principal chef de la Mecque.
Il jura de se venger, sa femme, se promit de manger le foie de ceux qui avaient tué ses parents.
Les Mecquois commencèrent immédiatement des préparatifs pour une guerre de revanche.
mecquois avaient pris des mesures économiques contre Médine. Après de
longs mois d’hésitation, le Prophète (psl) décida de se défendre.
Il
(psl) envoya le premier détachement musulman, pour dire aux Quraichites
que leurs caravanes ne devaient pas traverser la zone islamique. Une
trentaine de volontaires musulmans, conduit par Hamza, oncle du
Prophète (psl) rencontrèrent à l’ouest de Médine, Abû Jahl avec 300
caravaniers qui avaient campés sur le territoire de la tribu Duhainah.
Grâce à l’intervention du chef juhainite, les deux parties rentrèrent
chez elles pacifiquement. Il y eut d’autres cas similaires.
LA BATAILLE DE BADR
Bien
que l’armée Mecquoise soit trois fois plus nombreuse que ses propres
compagnons le Prophète (psl) décida de rencontrer ses ennemis.
Le
porte drapeau du Prophète (psl) était le ‘Abdarite Mus’ab ibn ‘Umair
(Ibn Hicham p432), sa famille ayant la charge héréditaire, à la Mecque,
de porter le drapeau. Le Prophète (psl) lui dit : « Nous devons plus
encore que ne le font les païens de la Mecque, reconnaître les droits
de cette famille ».
A
partir de cette guerre, il est plusieurs fois questions dans le Coran
(3/124-6 ; 8/9 ; 9/26 ; 33/9) de la participation des anges, à côté des
Musulmans dans les combats.
En ce qui concerne Badr :
«
Lorsque tu disais aux croyants : N’est-il pas suffisant que votre
seigneur vous fasse descendre en aide trois milliers d’anges ? Mais oui
! Si vous êtes endurant et vous comportez en piété, et qu’ils vous
assaillent par leur sortie, votre Seigneur vous enverra en renfort cinq
mille anges marqueurs. Et Dieu ne le fit qu’à titre d’heureuse nouvelle
pour vous : afin que vos cœurs s’en rassurent, car il n’y a de secours
que de Dieu puissant, sage. »
Ce
fut une victoire pour l’armée de Muhammad (psl). Le Prophète (psl)
consulta ses compagnons au sujet des prisonniers de guerre. Il fut
décidé de les libérer contre rançon. Ceux des prisonniers qui étaient
lettrés, eurent seulement à s’instruire chacun dix garçons musulman
dans l’art de lire et d’écrire. Il y eu aussi des libérations gratuites
quand le prisonnier ne pouvait payer sa rançon.
Le Prophète (psl) ordonna que les ennemis tués ne subissent aucune mutilation corporelle.
Les morts musulmans ainsi que ceux de l’ennemi furent enterrés, les deux catégories séparément.
Le
prophète (psl) répartit les prisonniers entre les soldats musulmans
afin que chacun assure la garde d’une personne. On donna des vêtements
à ceux qui en manquaient. Les prisonniers partagèrent les repas des
soldats.
D’après
un commandement du Coran ( 76/8-9) , les prisonniers doivent être
nourris et entretenus gratuitement, par le gouvernement musulman.
Le
comportement humanitaire du Prophète (psl) lors de cette première
guerre ne changea pas par la suite et devint une loi Islamique de la
guerre, relatif au traitement de l’ennemi fait prisonnier, tué, les
femmes, les enfants, les vieillards, les malades, les serviteurs et
autres non combattants, le butin etc.
Les
plus éminents des Mecquois étant morts à Badr, Abû Sufyân, échappé avec
la grande caravane, devint alors le principal chef de la Mecque.
Il jura de se venger, sa femme, se promit de manger le foie de ceux qui avaient tué ses parents.
Les Mecquois commencèrent immédiatement des préparatifs pour une guerre de revanche.
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