ORPHELIN CHEZ SON ONCLE
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ORPHELIN CHEZ SON ONCLE
Ce
fut un choix heureux que de choisir Abû Tàlib comme tuteur, il était un
homme généreux se qui lui causait des soucis pour équilibrer son budget
familiale et était obligé de recourir aux emprunts.
Sa tante délaissait ses enfants pour le peigner et laissait ses enfants avoir faim, mais nourrissait Muhammad (¨PSL).
A cette époque il n y avait pas d’école a la Mecque et Muhammad (PSL) n’apprit donc pas à lire ni à écrire.
Il travailla comme berger pour les Mecquois.
Un
petit incident : Il apprit un jour qu’il y aurait une fête chez une
personnalité de la ville, il dit à un de ses camarades : « je n’ai
jamais été à une fête, si tu peux garder mon troupeau en même temps que
le tien, j’irai à la ville, et je te remplacerai un autre jour. Le
camarade ayant accepté, il vint en ville, mais la fête n’était pas
encore commencée, en attendant il s’endormit. Lorsqu’il se réveilla, il
était déjà tard, il du rentrer chez lui. L’incident se répéta dit-on,
encore une fois dans de pareilles circonstances. Blessé dans son amour
propre, le jeune Muhammad (PSL) renonça pour toujours à s’amuser à de
telles frivolités » (Suhailî I 112 de Bukhâri).
Muhammad
avait 9 ans lorsqu’Abû Tâlib se vit obligé de mener une caravane de
commerce en Syrie. Il avait déjà gagné l’affection de son neveu, à tel
point que celui-ci devint très triste à l’idée d être séparé, même pour
peu de temps, de son oncle ; il lui demanda de l’accompagner ; Abû
Tâlib accepta, et c est ainsi que Muhammad fit son premier voyage hors
de l’Arabie .
Après ce voyage en Syrie, on ne sait pas beaucoup de chose sur la vie de Muhammad (PSL) pendant une dizaine d’années.
Ibn
al-Jauzî (Wafâ p101) affirme que, quand le Prophète avait un peu plus
de dix ans, il accompagna son autre oncle, Zubair, dans une caravane,
pleine d’incidents miraculeux, mais sans précision de la destination.
Al-Halabî
nous rapporte que les Mecquois avaient une fête annuelle, à laquelle
tout le monde prenait part avec enthousiasme. Chaque année Muhammad
(PSL) trouvait quelque excuse pour ne pas y assister. Une année, ses
tantes le grondèrent et le menacèrent de la colère divine, parcequ’il
ne voulait pas y assister avec les autres. Muhammad (psl) les
accompagna cette fois, mais en pleine fête il rentra dans la tente de
ses parents, tout blanc et tout tremblant : il raconté qu’il avait vu
d’étranges personnes qui lui défendaient toute participation à cette
fête païenne. Personne ne l’obligea par la suite à participer.
Un
jour il y eut une querelle entre Abû Talîb et son frère Abû Lahab, et
ce dernier jeta son frère à terre, s’assit sur sa poitrine et le
souffleta. Le jeune Muhammad (PSL) accourut, et en bousculant Abû
Lahab, l’éloigna de la poitrine de son frère. Puis Abû Talib se leva,
plein de colère fit de même. Après coup, Abû Lahab s’adressa à Muhammad
(psl) en lui disant : « Moi, je suis ton oncle, comme Abû Talib ; tu as
fait avec moi ce que tu as fait ; mais pourquoi n’as-tu pas agi
pareillement avec lui ? Par Dieu, mon cœur ne t’aimer plus jamais,
jamais ».
On
sait que parmi les membres de la famille, Abû Lahab fut le seul à
s’associer avec les ennemis personnels les plus redoutables du
Prophète.( Balâdhuri)
fut un choix heureux que de choisir Abû Tàlib comme tuteur, il était un
homme généreux se qui lui causait des soucis pour équilibrer son budget
familiale et était obligé de recourir aux emprunts.
Sa tante délaissait ses enfants pour le peigner et laissait ses enfants avoir faim, mais nourrissait Muhammad (¨PSL).
A cette époque il n y avait pas d’école a la Mecque et Muhammad (PSL) n’apprit donc pas à lire ni à écrire.
Il travailla comme berger pour les Mecquois.
Un
petit incident : Il apprit un jour qu’il y aurait une fête chez une
personnalité de la ville, il dit à un de ses camarades : « je n’ai
jamais été à une fête, si tu peux garder mon troupeau en même temps que
le tien, j’irai à la ville, et je te remplacerai un autre jour. Le
camarade ayant accepté, il vint en ville, mais la fête n’était pas
encore commencée, en attendant il s’endormit. Lorsqu’il se réveilla, il
était déjà tard, il du rentrer chez lui. L’incident se répéta dit-on,
encore une fois dans de pareilles circonstances. Blessé dans son amour
propre, le jeune Muhammad (PSL) renonça pour toujours à s’amuser à de
telles frivolités » (Suhailî I 112 de Bukhâri).
Muhammad
avait 9 ans lorsqu’Abû Tâlib se vit obligé de mener une caravane de
commerce en Syrie. Il avait déjà gagné l’affection de son neveu, à tel
point que celui-ci devint très triste à l’idée d être séparé, même pour
peu de temps, de son oncle ; il lui demanda de l’accompagner ; Abû
Tâlib accepta, et c est ainsi que Muhammad fit son premier voyage hors
de l’Arabie .
Après ce voyage en Syrie, on ne sait pas beaucoup de chose sur la vie de Muhammad (PSL) pendant une dizaine d’années.
Ibn
al-Jauzî (Wafâ p101) affirme que, quand le Prophète avait un peu plus
de dix ans, il accompagna son autre oncle, Zubair, dans une caravane,
pleine d’incidents miraculeux, mais sans précision de la destination.
Al-Halabî
nous rapporte que les Mecquois avaient une fête annuelle, à laquelle
tout le monde prenait part avec enthousiasme. Chaque année Muhammad
(PSL) trouvait quelque excuse pour ne pas y assister. Une année, ses
tantes le grondèrent et le menacèrent de la colère divine, parcequ’il
ne voulait pas y assister avec les autres. Muhammad (psl) les
accompagna cette fois, mais en pleine fête il rentra dans la tente de
ses parents, tout blanc et tout tremblant : il raconté qu’il avait vu
d’étranges personnes qui lui défendaient toute participation à cette
fête païenne. Personne ne l’obligea par la suite à participer.
Un
jour il y eut une querelle entre Abû Talîb et son frère Abû Lahab, et
ce dernier jeta son frère à terre, s’assit sur sa poitrine et le
souffleta. Le jeune Muhammad (PSL) accourut, et en bousculant Abû
Lahab, l’éloigna de la poitrine de son frère. Puis Abû Talib se leva,
plein de colère fit de même. Après coup, Abû Lahab s’adressa à Muhammad
(psl) en lui disant : « Moi, je suis ton oncle, comme Abû Talib ; tu as
fait avec moi ce que tu as fait ; mais pourquoi n’as-tu pas agi
pareillement avec lui ? Par Dieu, mon cœur ne t’aimer plus jamais,
jamais ».
On
sait que parmi les membres de la famille, Abû Lahab fut le seul à
s’associer avec les ennemis personnels les plus redoutables du
Prophète.( Balâdhuri)
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