Les compagnons fermement attachés à la foi
Les compagnons fermement attachés à la foi
Le Noble Coran parle de la manière avec
laquelle a débuté la marche islamique dirigée par le Prophète (P) dans
les domaines de l’appel et de l’action, de la guerre et de la paix. Il
nous parle de la manière avec laquelle Dieu, le Très-Haut, lui a assuré
des compagnons qui ont fait face à la situation avec force et qui ont
subi l’oppression exercée par les polythéistes qui voulaient les
détourner de leur religion et les obliger à redevenir polythéistes. Les
compagnons étaient, pour la plupart d’entre eux, des personnes démunies
parmi les habitants de la Mecque. On note, parmi eux, Yâssir et sa
femme Sumayya qui sont tombés en martyrs sous la torture. Leur fils
‘Ammâr n’a pas pu supporter la torture, ce qui l’a obligé à prononcer
la parole polythéiste avant de rejoindre le Prophète (P), tout effrayé
et vexé en raison de la faiblesse qui l’a obligé à dire ce qu’il a dit.
Le Prophète (P) lui a dit pour le consoler que Dieu a révélé un Verset
à son sujet qui dit : ((Celui qui renie Dieu après avoir cru, non pas
celui qui subit une contrainte et dont le cœur reste paisible dans la
foi…)) (Coran XVI, 106). Il lui a dit qu’il a été contraint à prononcer
la parole polythéiste, mais comme son cœur est resté paisible dans la
foi, cela ne l’a pas fait sortir de la foi.
On dit que Bilâl qui
criait l’appel à la prière au nom du Prophète (P) a été torturé, lui
aussi, par des rocs qu’on posait sur sa poitrine avant de lui demander
de prononcer la parole polythéiste. Mais il répondait en prononçant la
parole de l’unicité, « Il est Un, Il est Un ». Il leur faisait face en
prononçant cette parole exprimant ainsi sa foi en l’unicité de Dieu.
Les
Musulmans ont continué à subir la torture et les contraintes jusqu’au
moment où ils ont reçu l’ordre du Prophète (P) d’émigrer vers
l’Abyssinie dont le roi, an-Najâchî (Négus), fut chrétien. Quraysh a
envoyé à leur recherche deux personnes qui lui ont demandé de ne pas
accueillir ces Musulmans. Mais le chef de ces Emigrés, à savoir, Ja’far
Ibn Abû Tâlib (p), qui a eu après sa mort deux ailes pour voler au
Paradis, portait la culture de l’Islam. Il a parlé avec an-Najâchî et
lui a expliqué la théorie de l’islam concernant Jésus (p) et Mariyam
(Marie) (p). On dit que an-Najâchî a pleuré en écoutant les Versets du
Coran à ce propos, et les deux messagers de Quraysh sont revenus chez
eux bredouilles.
Sur ces faits, le Prophète (P) et ses acolytes
ont été très réprimés et martyrisés. Ils ont été assiégés et boycottés
par les Qurayshites jusqu’au moment de la seconde Emigration vers
Yathrib. A partir de cette date, la marche de l’islam s’est accomplie
en passant par des guerres qui ont été lancées par les polythéistes à
Badr, à Uhud, à la bataille des Factions et dans d’autres batailles.
Les Juifs ont, de leur part, trahi le pacte qu’ils avaient conclu avec
le Prophète (P) à Yathrib, devenue Médine (la Ville, du Prophète), ce
qui a donné lieu à des guerres contre les Banû Qaynuqâ’, les Banû
an-Nudhayr et les Banû Quraydhah, puis la situation a évolué vers la
conquête de la Mecque et la bataille de Hunayn, dans la mesure où les
Qurayshites ne voulaient pas laisser l’Islam agir librement, exercer
l’appel et se procurer la force.
La société de la compassion et de la fermeté
Au
moment où le Prophète (P) menait son action, il était soutenu par cet
homme qui représentait le sommet du jihâd, de la science et de la
connaissance, le sommet de la fidélité vis-à-vis de Dieu et de Son
Messager, le sommet du courage. Il s’agit du grand compagnon qu’est
‘Alî Ibn Abû Tâlib (p) qui est le héros ayant excellé dans les
batailles de Badr, de Uhud, des Factions et de Hunayn, au point que
l’Ange Gabriel (p) a dit à son compte : « Il n’y a pas de brave homme
si ce n’est ‘Alî ; il n’y a pas de sabre si ce n’est Dhû al-Fiqâr ». Le
Prophète (P) a dit à son compte lors de la bataille des Factions : «
Toute la foi fait face à toute la mécréance ». Il a dit aussi : « Le
coup de ‘Alî lors de la batille du Fossé équivaut à l’adoration des
hommes et des djinns ».
‘Alî (p) occupait la place ultime parmi
les compagnons du Messager de Dieu (P). Si certains compagnons avaient
viré de la ligne droite dans certaines situations, beaucoup parmi eux
ne l’ont pas fait. Ils s’étaient portés martyrs, blessés et émigrants
dans les combats de l’Islam. Le Noble Coran nous en parle en disant :
((Muhammad est le Messager de Dieu et ceux qui sont avec lui sont durs
face aux mécréants et miséricordieux entre eux. Tu les vois inclinés,
prosternés, recherchant la grâce de Dieu. On les reconnaît car on voit
sur leurs fronts les traces de leurs prosternations. Voici la parabole
qui les concerne dans la Tora et la parabole qui les concerne dans
l’Evangile : Ils sont semblables au grain qui fait sortir sa pousse,
puis il devient robuste, il grossit, il se dresse sur sa tige. Le
semeur est saisi d’admiration et les impies en sont courroucés. Dieu a
promis à ceux d’entre eux qui croient et qui accomplissent des œuvres
bonnes un pardon et une récompense sans limite)) (Coran XLVIII, 29).
((Voici la grâce de Dieu ! Il la donne à qui il veut. Dieu est le
Maître de la grâce incommensurable)) (coran LXII, 4).
L’amour des croyants et leur altruisme
L’autre
tableau que Dieu nous dresse est celui des Emigrés (Muhâjirûn) et des
Partisans (Ansâr). En arrivant à Médine, les Emigrés étaient démunis
car ils avaient abandonné leurs biens à la Mecque. Dieu, le Très-Haut,
les évoque en ces termes : ((Ils recherchaient une faveur de Dieu et Sa
satisfaction et ils portaient secours à Dieu et à Son Prophète. Ceux-là
sont les véridiques)) (Coran LIX, , car être véridique ne l’est pas
seulement avec des paroles mais aussi avec l’attitude que l’homme prend
sur la ligne de la confrontation avec les ennemis.
Puis, Dieu,
le Très-Haut, dit au sujets des Ansârs : ((A ceux qui s’étaient établis
avant eux en cette demeure et dans la foi, à ceux qui aiment ceux qui
ont émigré vers eux. Ils ne trouvent dans leurs cœurs aucune envie pour
ce qui a été donné à ces Emigrés. Ils les préfèrent à eux-mêmes, malgré
leur pauvreté. Celui qui se garde contre sa propre avidité… Ceux-là
sont les bienheureux)) (coran LIX, 9). Et à propos de cette alliance
entre les Emigrés et les Partisans, Dieu, le Très-Haut, a dit : ((Les
croyants sont frères)) (Coran XLIX, 10).
Après cela, Dieu, le
Très-Haut, nous parle de la deuxième génération de Musulmans : ((A ceux
qui sont venus après eux en disant : ‘Notre Seigneur ! Pardonne-nous
ainsi qu’à nos frères qui nous ont précédés dans la foi. Ne mets pas
dans nos cœurs de rancune envers les croyants. Notre Seigneur ! Tu es,
en vérité, bon et miséricordieux !’)) (Coran LIX, 10). C’est à cela que
ressemblent les Musulmans parmi les compagnons du Prophète (P) et ceux
qui l’ont suivis. C’est pour cette raison qu’ils ont été victorieux eu
qu’ils ont pu atteindre des grands buts sous le commandement du
Messager de Dieu (P). Quant aux Juifs, Dieu, le Très-Haut, les dépeint
ainsi : ((Tous ne vous combattront que retranchés dans des cités
fortifiées ou derrière des murailles. Leur vaillance est grande quand
ils sont entre eux. Vous les croyez unis, mais leurs cœurs sont
divisés. Il en est ainsi, parce que ce sont des gens qui ne raisonnent
pas)) (Coran LIX, 14). Chacun d’eux n’ouvre pas son cœur vis-à-vis de
son frère ; ils étaient des individus divisés.
Telle était
l’image des Musulmans et telle était celle des Juifs. Comment donc la
situation s’est-elle renversée ? Comment donc, nous les Musulmans, nous
sommes arrivés à nous nous entretuer, à nous nous traiter mutuellement
de mécréance, à nous faire tort les uns aux autres et à devenir
hostiles les uns aux autres, alors que les mécréants et, en premier
lieu, les Juifs, sont-ils devenus durs face aux Musulmans et
miséricordieux entre eux ? S’il n’y avait pas cette avant-garde de
combattants qui ont fait face aux Juifs et qui ont pu les défaire par
cette unité dans la foi, par cette unité dans l’Islam, nous n’aurions
pas pu réaliser cette victoire !
Chers frères ! Retournons-nous
vers la caractéristique islamique fondamentale qui est le fait d’être
durs face aux mécréants et miséricordieux entre nous. Soyons ceux qui
s’inclinent et qui se prosternent à la recherche de la grâce de Dieu et
de Sa satisfaction. Aimons ceux qui émigrent vers nous si des problèmes
surgissent dans nos sociétés, comme ce qui s’est passé l’année dernière
lorsque les gens étaient obligés de quitter le Sud.
Chers frères
! Retournons-nous à l’amour et à l’unité. Suivons la marche dirigée par
le Messager de Dieu (P), de Dieu, à Lui la Grandeur et la Gloire, qui a
dit : ((Vous avez en eux un bel exemple pour celui qui espère en Dieu
et au Jour dernier. Que celui qui se tourne le dos sache que Dieu est
celui qui se suffit à Lui-même et qu’il est digne de louanges)) (Coran
LX, 6).
laquelle a débuté la marche islamique dirigée par le Prophète (P) dans
les domaines de l’appel et de l’action, de la guerre et de la paix. Il
nous parle de la manière avec laquelle Dieu, le Très-Haut, lui a assuré
des compagnons qui ont fait face à la situation avec force et qui ont
subi l’oppression exercée par les polythéistes qui voulaient les
détourner de leur religion et les obliger à redevenir polythéistes. Les
compagnons étaient, pour la plupart d’entre eux, des personnes démunies
parmi les habitants de la Mecque. On note, parmi eux, Yâssir et sa
femme Sumayya qui sont tombés en martyrs sous la torture. Leur fils
‘Ammâr n’a pas pu supporter la torture, ce qui l’a obligé à prononcer
la parole polythéiste avant de rejoindre le Prophète (P), tout effrayé
et vexé en raison de la faiblesse qui l’a obligé à dire ce qu’il a dit.
Le Prophète (P) lui a dit pour le consoler que Dieu a révélé un Verset
à son sujet qui dit : ((Celui qui renie Dieu après avoir cru, non pas
celui qui subit une contrainte et dont le cœur reste paisible dans la
foi…)) (Coran XVI, 106). Il lui a dit qu’il a été contraint à prononcer
la parole polythéiste, mais comme son cœur est resté paisible dans la
foi, cela ne l’a pas fait sortir de la foi.
On dit que Bilâl qui
criait l’appel à la prière au nom du Prophète (P) a été torturé, lui
aussi, par des rocs qu’on posait sur sa poitrine avant de lui demander
de prononcer la parole polythéiste. Mais il répondait en prononçant la
parole de l’unicité, « Il est Un, Il est Un ». Il leur faisait face en
prononçant cette parole exprimant ainsi sa foi en l’unicité de Dieu.
Les
Musulmans ont continué à subir la torture et les contraintes jusqu’au
moment où ils ont reçu l’ordre du Prophète (P) d’émigrer vers
l’Abyssinie dont le roi, an-Najâchî (Négus), fut chrétien. Quraysh a
envoyé à leur recherche deux personnes qui lui ont demandé de ne pas
accueillir ces Musulmans. Mais le chef de ces Emigrés, à savoir, Ja’far
Ibn Abû Tâlib (p), qui a eu après sa mort deux ailes pour voler au
Paradis, portait la culture de l’Islam. Il a parlé avec an-Najâchî et
lui a expliqué la théorie de l’islam concernant Jésus (p) et Mariyam
(Marie) (p). On dit que an-Najâchî a pleuré en écoutant les Versets du
Coran à ce propos, et les deux messagers de Quraysh sont revenus chez
eux bredouilles.
Sur ces faits, le Prophète (P) et ses acolytes
ont été très réprimés et martyrisés. Ils ont été assiégés et boycottés
par les Qurayshites jusqu’au moment de la seconde Emigration vers
Yathrib. A partir de cette date, la marche de l’islam s’est accomplie
en passant par des guerres qui ont été lancées par les polythéistes à
Badr, à Uhud, à la bataille des Factions et dans d’autres batailles.
Les Juifs ont, de leur part, trahi le pacte qu’ils avaient conclu avec
le Prophète (P) à Yathrib, devenue Médine (la Ville, du Prophète), ce
qui a donné lieu à des guerres contre les Banû Qaynuqâ’, les Banû
an-Nudhayr et les Banû Quraydhah, puis la situation a évolué vers la
conquête de la Mecque et la bataille de Hunayn, dans la mesure où les
Qurayshites ne voulaient pas laisser l’Islam agir librement, exercer
l’appel et se procurer la force.
La société de la compassion et de la fermeté
Au
moment où le Prophète (P) menait son action, il était soutenu par cet
homme qui représentait le sommet du jihâd, de la science et de la
connaissance, le sommet de la fidélité vis-à-vis de Dieu et de Son
Messager, le sommet du courage. Il s’agit du grand compagnon qu’est
‘Alî Ibn Abû Tâlib (p) qui est le héros ayant excellé dans les
batailles de Badr, de Uhud, des Factions et de Hunayn, au point que
l’Ange Gabriel (p) a dit à son compte : « Il n’y a pas de brave homme
si ce n’est ‘Alî ; il n’y a pas de sabre si ce n’est Dhû al-Fiqâr ». Le
Prophète (P) a dit à son compte lors de la bataille des Factions : «
Toute la foi fait face à toute la mécréance ». Il a dit aussi : « Le
coup de ‘Alî lors de la batille du Fossé équivaut à l’adoration des
hommes et des djinns ».
‘Alî (p) occupait la place ultime parmi
les compagnons du Messager de Dieu (P). Si certains compagnons avaient
viré de la ligne droite dans certaines situations, beaucoup parmi eux
ne l’ont pas fait. Ils s’étaient portés martyrs, blessés et émigrants
dans les combats de l’Islam. Le Noble Coran nous en parle en disant :
((Muhammad est le Messager de Dieu et ceux qui sont avec lui sont durs
face aux mécréants et miséricordieux entre eux. Tu les vois inclinés,
prosternés, recherchant la grâce de Dieu. On les reconnaît car on voit
sur leurs fronts les traces de leurs prosternations. Voici la parabole
qui les concerne dans la Tora et la parabole qui les concerne dans
l’Evangile : Ils sont semblables au grain qui fait sortir sa pousse,
puis il devient robuste, il grossit, il se dresse sur sa tige. Le
semeur est saisi d’admiration et les impies en sont courroucés. Dieu a
promis à ceux d’entre eux qui croient et qui accomplissent des œuvres
bonnes un pardon et une récompense sans limite)) (Coran XLVIII, 29).
((Voici la grâce de Dieu ! Il la donne à qui il veut. Dieu est le
Maître de la grâce incommensurable)) (coran LXII, 4).
L’amour des croyants et leur altruisme
L’autre
tableau que Dieu nous dresse est celui des Emigrés (Muhâjirûn) et des
Partisans (Ansâr). En arrivant à Médine, les Emigrés étaient démunis
car ils avaient abandonné leurs biens à la Mecque. Dieu, le Très-Haut,
les évoque en ces termes : ((Ils recherchaient une faveur de Dieu et Sa
satisfaction et ils portaient secours à Dieu et à Son Prophète. Ceux-là
sont les véridiques)) (Coran LIX, , car être véridique ne l’est pas
seulement avec des paroles mais aussi avec l’attitude que l’homme prend
sur la ligne de la confrontation avec les ennemis.
Puis, Dieu,
le Très-Haut, dit au sujets des Ansârs : ((A ceux qui s’étaient établis
avant eux en cette demeure et dans la foi, à ceux qui aiment ceux qui
ont émigré vers eux. Ils ne trouvent dans leurs cœurs aucune envie pour
ce qui a été donné à ces Emigrés. Ils les préfèrent à eux-mêmes, malgré
leur pauvreté. Celui qui se garde contre sa propre avidité… Ceux-là
sont les bienheureux)) (coran LIX, 9). Et à propos de cette alliance
entre les Emigrés et les Partisans, Dieu, le Très-Haut, a dit : ((Les
croyants sont frères)) (Coran XLIX, 10).
Après cela, Dieu, le
Très-Haut, nous parle de la deuxième génération de Musulmans : ((A ceux
qui sont venus après eux en disant : ‘Notre Seigneur ! Pardonne-nous
ainsi qu’à nos frères qui nous ont précédés dans la foi. Ne mets pas
dans nos cœurs de rancune envers les croyants. Notre Seigneur ! Tu es,
en vérité, bon et miséricordieux !’)) (Coran LIX, 10). C’est à cela que
ressemblent les Musulmans parmi les compagnons du Prophète (P) et ceux
qui l’ont suivis. C’est pour cette raison qu’ils ont été victorieux eu
qu’ils ont pu atteindre des grands buts sous le commandement du
Messager de Dieu (P). Quant aux Juifs, Dieu, le Très-Haut, les dépeint
ainsi : ((Tous ne vous combattront que retranchés dans des cités
fortifiées ou derrière des murailles. Leur vaillance est grande quand
ils sont entre eux. Vous les croyez unis, mais leurs cœurs sont
divisés. Il en est ainsi, parce que ce sont des gens qui ne raisonnent
pas)) (Coran LIX, 14). Chacun d’eux n’ouvre pas son cœur vis-à-vis de
son frère ; ils étaient des individus divisés.
Telle était
l’image des Musulmans et telle était celle des Juifs. Comment donc la
situation s’est-elle renversée ? Comment donc, nous les Musulmans, nous
sommes arrivés à nous nous entretuer, à nous nous traiter mutuellement
de mécréance, à nous faire tort les uns aux autres et à devenir
hostiles les uns aux autres, alors que les mécréants et, en premier
lieu, les Juifs, sont-ils devenus durs face aux Musulmans et
miséricordieux entre eux ? S’il n’y avait pas cette avant-garde de
combattants qui ont fait face aux Juifs et qui ont pu les défaire par
cette unité dans la foi, par cette unité dans l’Islam, nous n’aurions
pas pu réaliser cette victoire !
Chers frères ! Retournons-nous
vers la caractéristique islamique fondamentale qui est le fait d’être
durs face aux mécréants et miséricordieux entre nous. Soyons ceux qui
s’inclinent et qui se prosternent à la recherche de la grâce de Dieu et
de Sa satisfaction. Aimons ceux qui émigrent vers nous si des problèmes
surgissent dans nos sociétés, comme ce qui s’est passé l’année dernière
lorsque les gens étaient obligés de quitter le Sud.
Chers frères
! Retournons-nous à l’amour et à l’unité. Suivons la marche dirigée par
le Messager de Dieu (P), de Dieu, à Lui la Grandeur et la Gloire, qui a
dit : ((Vous avez en eux un bel exemple pour celui qui espère en Dieu
et au Jour dernier. Que celui qui se tourne le dos sache que Dieu est
celui qui se suffit à Lui-même et qu’il est digne de louanges)) (Coran
LX, 6).
Permission de ce forum:
Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum